
M E N U
« Au premier regard des œuvres d'Eric FIOL, c'est d'abord l'intensité de l'ombre et de la lumière qui frappe sur chacune d'entre elle : la lumière abondante, presque saturée, l'ombre pénétrante et nuancée. Cette précision créé des "instantanés de lumière" capables de restituer toute l'atmosphère d'un instant.
Dans "Porte de Champerret" , c'est ensuite le mouvement qui s'affirme, une force profonde qui traverse le tableau d'un bord à l'autre - dynamique forte et énergique. »
Xavier Blanchard, Directeur de l'Offre et de l'Innovation AXA 2009
C’est dans les méandres de la ville et dans la radicalité de son atmosphère, animée par la densité des flux humains, qu’Eric Fiol puise son inspiration.
Ce jeune autodidacte, âgé tout juste de vingt-neuf ans, n’a pas fréquenté l’Ecole des Beaux Arts. Malgré tout, il n’a jamais arrêté de peindre, dessiner, et de se consacrer à la photographie.
Sa vocation d’artiste le rattrape chaque jour davantage, et ce n’est qu’après des études d’architecture, motivées par son goût prononcé pour le dessin, qu’il décide finalement de se dédier entièrement à sa passion.
Fasciné par le climat urbain, Eric Fiol ne s’intéresse aux lieux dans la ville, que lorsque ceux-ci sont potentiellement « générateurs d’autre chose » ou soit, lorsqu’ils ont le potentiel de créer des « disfonctionnements, des perturbations », selon ses propres termes.
Comment est-ce que l’être humain appréhende et évolue dans un espace urbain, conçu théoriquement pour son confort mais reste pourtant semé d’obstacles, conditionnant chacun de ces pas et pouvant même devenir une source d’angoisse ?
C’est de la fugacité et de l’intensité de ces instants, qu’Eric Fiol tente de rendre compte dans son œuvre photographique et pictural.
Après une séance d’immersion dans l’ambiance de la ville, et les moments de tension capturés par son objectif, l’artiste se hâte de transcrire ces paroxysmes, tantôt dans un tourbillon de noirs tantôt dans un allongement des formes à l’infini, qu’il obtient grâce à une technique mise au point personnellement, lui permettant de déployer rapidement l’encre de chine sur la toile.
Le noir reste sa couleur de prédilection, il en apprécie la gravité et son puissant pouvoir de contraste qui donne de l’intensité à ces scènes de vie.
Alexandrina Pereira, Historienne de l’art 3/2009.
« Au premier regard des œuvres d'Eric FIOL, c'est d'abord l'intensité de l'ombre et de la lumière qui frappe sur chacune d'entre elle : la lumière abondante, presque saturée, l'ombre pénétrante et nuancée. Cette précision créé des "instantanés de lumière" capables de restituer toute l'atmosphère d'un instant.
Dans "Porte de Champerret" , c'est ensuite le mouvement qui s'affirme, une force profonde qui traverse le tableau d'un bord à l'autre - dynamique forte et énergique. »
Xavier Blanchard, Directeur de l'Offre et de l'Innovation AXA 2009
C’est dans les méandres de la ville et dans la radicalité de son atmosphère, animée par la densité des flux humains, qu’Eric Fiol puise son inspiration.
Ce jeune autodidacte, âgé tout juste de vingt-neuf ans, n’a pas fréquenté l’Ecole des Beaux Arts. Malgré tout, il n’a jamais arrêté de peindre, dessiner, et de se consacrer à la photographie.
Sa vocation d’artiste le rattrape chaque jour davantage, et ce n’est qu’après des études d’architecture, motivées par son goût prononcé pour le dessin, qu’il décide finalement de se dédier entièrement à sa passion.
Fasciné par le climat urbain, Eric Fiol ne s’intéresse aux lieux dans la ville, que lorsque ceux-ci sont potentiellement « générateurs d’autre chose » ou soit, lorsqu’ils ont le potentiel de créer des « disfonctionnements, des perturbations », selon ses propres termes.
Comment est-ce que l’être humain appréhende et évolue dans un espace urbain, conçu théoriquement pour son confort mais reste pourtant semé d’obstacles, conditionnant chacun de ces pas et pouvant même devenir une source d’angoisse ?
C’est de la fugacité et de l’intensité de ces instants, qu’Eric Fiol tente de rendre compte dans son œuvre photographique et pictural.
Après une séance d’immersion dans l’ambiance de la ville, et les moments de tension capturés par son objectif, l’artiste se hâte de transcrire ces paroxysmes, tantôt dans un tourbillon de noirs tantôt dans un allongement des formes à l’infini, qu’il obtient grâce à une technique mise au point personnellement, lui permettant de déployer rapidement l’encre de chine sur la toile.
Le noir reste sa couleur de prédilection, il en apprécie la gravité et son puissant pouvoir de contraste qui donne de l’intensité à ces scènes de vie.
Alexandrina Pereira, Historienne de l’art 3/2009.
Clair obscur, belle maitrise… ballades urbaines qui me rappellent Laboureur, le graveur, entre photos noir et blanc, et mine de plomb.
Ce que j’en vois donne le sentiment d’un rapport au temps ralenti, entre la modernité des sujets et le moyen, et de ce fait très séduisant.
Jean-Baptiste Sibertin-Blanc , Directeur artistique de Daum 2009
Ce que j’en vois donne le sentiment d’un rapport au temps ralenti, entre la modernité des sujets et le moyen, et de ce fait très séduisant.
Jean-Baptiste Sibertin-Blanc , Directeur artistique de Daum 2009
"La maîtrise extra-ordinaire des encres,
les ombres , les clairs-obscurs
les jaillissement des coups de pinceaux trempés d'énergie virevoltante,
les tonalités de bleu, verdâtre, mauve, aubergine
Poussières de lune,
le surgissement des personnages venus de petits matins froids,
la résonnance de leur réalité,
l'irréalité de leur temps,
substance étrange,
l'envie de les étreindre ou de les rejetter
par peur de les briser."
Ghislaine de ROUX
inkeric@laposte.net
11 Comments:
Bonjour Eric,
Bravo pour votre talent, c'est superbe.
Vos feutres ressemblent à des baguettes magiques jouant en permanence à faire apparaitre l'ombre et la lumière.
Magicien du clair obscur, dans chaque toile vous nous invitez à créer un scénario, ce petit jeu m'a beaucoup plus.
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
C'est vraiment un super boulot, le résultat est impressionnant, félicitations
OUI SUPERBE !
et ....bravo, les ambiances sont vraiment bien graphiquées !! eh eh !
Que l'inspiration et le stylo/marqueur ne te quittent pas.. ce serait bien dommage pour autant de talent!
Bravo Eric pour toutes ces oeuvres tout simplement magnifiques et qui reflètent bien à la fois les ambiances et vos ressentis et une vision toujours très contrastée pour mieux souligner...
où puis-je être informé des dates d'expo. Je serai ravi de plonger dans vos oeuvres grandeurs natures.
Félicitations.
Marco.
Just great work, Eric!! Liked it a lot!! :)
Great work, Eric!! Liked your pictures a lot!! Tkank you! :)
Kjetil.
De Plus en plus convulsif ! j'Adore cette derniere oeuvre, Bravo, Continuez...
Merci pour votre travail qui nous invite dans une valse de mouvement,alors que l'encre coule elle prends des formes formes pour laisser apparaître un sujet bien réfléchie.A chaque fois c'est une invitation dans univers de contraste noir et blanc qui nous suggère une réalisation bien a part.Depuis déjà un moment je me laisser allez dans mes pensées a travers vos toiles avec grand plaisir.J'espère un jour pouvoir les voir en vrai....Bravo Eric..
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